Demain, en présence du Président, trois grands projets dans les industries pétrolière et gazière et pétrochimique seront lancés par visioconférence.
Il est à noter que l'Iran a fait face aux sanctions pétrolières les plus sévères de ces 3 dernières années, mais cette guerre économique contre le peuple iranien n'a pas pu arrêter le développement de la production pétrolière dans notre pays.
Le retrait des États-Unis du Plan d'action global conjoint (JCPOA) sur le programme nucléaire iranien a conduit à l'imposition unilatérale de sanctions américaines sur l'économie iranienne.
Bien que ces sanctions visent tous les secteurs de l'économie, la plupart des experts estiment que la principale cible des sanctions est l'industrie pétrolière iranienne.
Washington a déclaré son objectif de ramener à zéro les exportations de pétrole iranien et a exhorté ses acheteurs à refuser de tels achats.
À cet égard, les revenus pétroliers de l'Iran ont diminué en raison de la baisse des exportations. De plus, l'épidémie du coronavirus a également entraîné une baisse des prix du pétrole.
Mais rien de tout cela ne pouvait arrêter le moteur de l'industrie pétrolière.
Au cours de la même période, l'Iran a augmenté la production du champ commun de South Pars à 700 millions de mètres cubes par jour.
La production de pétrole dans les champs communs de West Karuna a également augmenté d'environ 6 fois pour atteindre 400 000 barils par jour. L'approvisionnement en gaz des zones rurales a également augmenté de 120%.