Selon le correspondant de l'IRNA à New York, Majid Takht-Ravanchi, dans une lettre adressée à Antonio Guterres, Secrétaire générale de l'ONU et à l'actuel président du Conseil de sécurité de l'ONU, a ajouté: "Récemment, le régime sioniste n'a pas seulement intensifié ses déclarations provocantes et belligérantes contre la République islamique d'Iran, mais cherche aussi activement à concrétiser ses menaces hostiles contre l’Iran."
"Le dernier exemple de ces menaces est la déclaration du chef d'état-major général des forces d'occupation israéliennes le 26 janvier 2021, dans laquelle, en plus de faire de fausses déclarations sur le programme nucléaire pacifique de l'Iran, il a déclaré: «Outre les plans existants contre l'Iran, les forces israéliennes préparent également des plans d'action qui seront développés l'année prochaine car ces options doivent être sur la table.»", a ajouté le Représentant permanent de l'Iran auprès des Nations Unies.
L'ambassadeur iranien aux Nations Unies a souligné: "Ces menaces sont une violation flagrante de l'article 2 de la Charte des Nations Unies et, étant donné la sombre histoire du régime d'attaquer les pays de la région, nécessitent une réponse appropriée de la part de la communauté internationale."
"Nous nous réservons le droit inhérent à la légitime défense de répondre de manière décisive à toute menace ou acte répréhensible du régime israélien. Il est absolument clair que le régime israélien doit assumer l'entière responsabilité des conséquences de ses actions débridées et erronées.", a déclaré Takht-Ravanchi, mettant en garde contre toute action militaire du régime israélien contre la République islamique d'Iran.
"Le Conseil de sécurité, qui est le premier responsable du maintien de la paix et de la sécurité internationale, doit faire face aux politiques déstabilisantes et provocatrices du régime sioniste et l'empêcher de poursuivre des plans dangereux contre la région.", a précisé le Représentant permanent de l'Iran auprès de l'Organisation des Nations Unies.
Takht-e Ravanchi a demandé que la lettre soit enregistrée comme un document officiel au sein du Conseil de sécurité des Nation Unies.