Abdonnaser Hemmati, qui s'est exprimé à l’occasion d’une réunion de fin d'année avec les responsables de la banque centrale, a déclaré : «Les deux dernières années et demie en Iran ont été marquées par les conditions les plus difficiles et sans précédent en termes de pressions économiques et même politiques. »
« Malgré toutes les pressions et restrictions, le bilan de la banque centrale est défendable dans divers secteurs, et j'en remercie mes collègues », a-t-il encore déclaré.
Soulignant qu'à un moment donné, les recettes pétrolières moyennes du pays se situaient entre 40 et 60 milliards de dollars, il a déclaré : les recettes pétrolières totales des deux dernières années étaient inférieures à 20 milliards de dollars et les dépenses en devises du pays ont été gérées avec une telle somme ! »
Hemmati a ajouté : « Une grande partie de ces ressources n’étaient pas disponibles, et elle ne pouvait être accessible qu’avec difficulté et par des manières indirectes »
Il a souligné : « La Banque centrale a bien et correctement fait son travail dans le secteur monétaire et cela malgré tous les problèmes. »
«Quant aux taux actuels de change sur le marché, ils sont dus à l'incertitude et à certaines exigences provisoires et ne demeurent pas ainsi», a-t-il déclaré.
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