mettre fin aux "inspections accusatoires" de l'agence.
Dans une interview exclusive accordée à l’IRNA, Fereidoun Abbasi, membre de la Commission de l'énergie du Parlement iranien, a souligné la nécessité de l'insistance du ministère iranien des Affaires étrangères pour que les États-Unis fournissent des assurances sur un éventuel accord pour relancer l'accord nucléaire de 2015.
Selon Abbasi, la plupart des inspecteurs de l'AIEA en visite en Iran ont des motifs d'espionnage, en citant l'ancien chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique et a noté que ces inspecteurs rapportent de fausses allégations et ne font que conduire la question nucléaire iranienne dans une situation difficile.
A la question de savoir si la résolution des problèmes liés aux garanties servirait de garantie pour un éventuel accord, il a noté que les participants européens et les États-Unis ont soulevé de fausses allégations contre l'Iran qui sont poursuivies par l'AIEA.
Il a appelé l'équipe de négociation iranienne à insister sur les principales positions de l'Iran, à préserver l'uranium enrichi dont l'Occident veut que l'Iran se débarrasse et à éviter de réformer le réacteur à eau lourde d'Arak.
Le législateur a également appelé à la levée des restrictions liées au JCPOA sur la capacité de l'Iran à utiliser le plutonium, le décrivant comme l'avenir de l'énergie mondiale dont l'Iran ne devrait pas être privé.
Abbasi a également souligné la nécessité de maintenir le droit de l'Iran à un enrichissement à 90 % à des fins scientifiques et industrielles.