Alors qu’à la veille de Noël, les Parisiens étaient toujours habitués d’être fascinés par les cérémonies de lumière, cette année Paris ne pourrait pas montrer son profil de ville-lumière.
Depuis le début du conflit ukrainien, la France et les pays européens ont boycotté l’achat du gaz à la Russie. De l’autre côté, les sanctions illogiques imposées par les États-Unis et l’UE contre l’Iran, le grand producteur du pétrole et du gaz, aggravent les besoins énergétiques de l’Europe. La France était obligée d’augmenter le prix du gaz et de réduire sa consommation dans le domaine de l’électricité. Les villes européennes comme Paris et Berlin étaient contraintes d’éteindre la lumière des monuments historiques. La tour Eiffel s’éteint comme l’arc de triomphe et le musée du Louvre.
Le ministre français de l’Économie, dans un discours à l’Assemblée nationale, a avoué que Washington, bénéficiant de cette situation, vend son gaz à l’Europe à un prix quatre fois plus chère qu’aux États-Unis. À cause de la mauvaise gestion de la crise énergétique par l’Élysée, le pouvoir d’achat du peuple français est affaibli, les stations-services sont inondées et la pénurie du carburant se fait signaler partout en France.
La capitale française, autrefois surnommée la ville-lumière, perdrait son prestige et serait appelée « Paris sans lumière ».