Selon l’IRNA, lors de cette réunion, le chef de la troisième département d'Europe occidentale au ministère iranien des Affaires étrangers a qualifié ces accusations sans fondement de poursuite de la politique de l'iranophobie et a appelé à mettre fin à cette approche hostile du gouvernement britannique.
« Au cours des quatre dernières décennies, la République islamique d'Iran a montré qu'elle ne cédait pas aux pressions étrangères et annonce une réponse réciproque aux sanctions du régime britannique » a-t-il ajouté.
Et de poursuivre : « Le pays qui permet les discriminations et les atrocités les plus graves contre les immigrés et les musulmans et en violation des lois internationales, transfère de force des réfugiés au Rwanda, n'est pas en mesure de parler des droits de l'homme. »