« L'Egypte salue cette médiation, notamment celle de l'Irak, car Bagdad et Le Caire entretiennent des relations particulières, mais avant toute action, cette question nécessite des préparatifs liés par exemple aux enjeux de la sécurité des pays du golfe Persique et aux décisions de l'Iran », rapporte le journal international turc Zaman citant une source diplomatique au Caire qui a requis l’anonymat.
Il avait dit plus tôt : « Les relations entre l'Iran et l'Égypte ne sont pas normales car il y a un certain nombre de cas litigieux qui les sapent, mais une médiation potentielle irakienne, qui a été proposée lors de la conférence Bagdad 2 en Jordanie, peut ouvrir les portes à un début de dialogue Téhéran-Le Caire ».