Londres (IRNA) - Le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne a approuvé lundi 24 avril le septième paquet de sanctions contre l'Iran.

Selon le site Internet de l'Union européenne, une entité et huit personnalités iraniennes ont été ajoutées à la liste des sanctions par l'Union européenne.

Le Conseil a décidé d'imposer des sanctions à l'encontre de huit personnes et d'une entité supplémentaires en Iran.

Le Conseil a sanctionné Ariantel, un fournisseur iranien de services mobiles.

Parmi les nouvelles inscriptions figurent également des législateurs au Parlement iranien ainsi que des membres du Corps des gardiens de la révolution islamique et de la Fondation coopérative du CGRI, un organe de la gestion des investissements.

Les mesures restrictives s'appliquent désormais à 211 personnes et 35 entités au total. Elles consistent en un gel des avoirs, une interdiction de pénétrer sur le territoire de l'UE et une interdiction de mettre des fonds ou des ressources économiques à la disposition des personnes et entités inscrites sur la liste.

Selon ce rapport, les avoirs des personnes et des institutions sanctionnées ont été gelés et les entreprises et les citoyens de l'UE se sont vu interdire toute transaction financière avec eux. De plus, les personnes physiques sanctionnées n'ont pas le droit de se rendre dans les États membres de l'Union, et leur entrée ou leur transit vers ces pays est interdit.

Le gouvernement de Londres a égalemnet imposé de nouvelles sanctions contre le Corps des gardiens de la révolution islamique.

La République islamique d'Iran a mis en garde à plusieurs reprises contre les conséquences du comportement interventionniste de l'Occident et a déclaré que de telles actions ne resteraient pas sans réponse.