différentes parties de la bande de Gaza assiégée, l'armée israélienne a bombardé mardi soir 31 octobre le camp de Jabalia, au nord, tuant délibérément des dizaines de civils blessant un grand nombre d’autres.
Mardi soir, le porte-parole du ministère palestinien de l'Intérieur à Gaza, Iyad Al-Buzum, a déclaré qu'un bombardement inhumain israélien a fait 400 victimes, entre morts et blessés, dont la plupart étaient des enfants, et a détruit un quartier résidentiel entier dans le camp de Jabalia, dans le nord de la Bande de Gaza.
L'armée israélienne a intensifié ses attaques sur la Bande de Gaza, qui subit des frappes incessantes depuis l'offensive surprise menée par la résistance palestinienne au début du mois d’octobre.
Epaulé par son allié historique, les États-Unis, Israël s’acharne toujours dans le massacre qualifié par les commentateurs et plusieurs pays de « génocide ».
Malgré les appels incessants du monde entier au rétablissement du cessez-le-feu, Israël et ses soutiens s’y opposent, car ils le considèrent en faveur de la résistance palestinienne.
Condamnant également le soutien occidental au régime infanticide d’Israël l’Iran croient que les Etats-Unis ne sont pas seulement complices, mais aussi architectes et cerveaux du génocide israélien à Gaza.
Depuis l’opération du 7 octobre menée par le mouvement de la Résistance palestinienne, en réponse aux crimes sans discontinuité perpétrés par le régime sioniste et son gouvernement extrémiste dirigé par Netanyahou, contre les Palestiniens innocents, dont les Gazouis sous blocus, l’entité sioniste a été et reste surpris sur trois plans : stratégique, opérationnel et tactique.
On peut dire qu’un régime qui peut être surpris à de telle grande échelle est en train de s’effondrer.