Les autorités du régime sioniste ont affirmé à plusieurs reprises qu’elles raseraient Gaza et poursuivraient leurs attaques jusqu’à l’élimination complète du Hamas.
Netanyahu a déclaré explicitement à plusieurs reprises qu'il n'y aurait « pas de cessez-le-feu » à moins que « tous les otages » ne soient libérés. Même les responsables militaires israéliens ont souligné qu’un cessez-le-feu temporaire aiderait le Hamas, mais ils ne l’accepteraient pas.
Après la lourde défaite subie par le régime sioniste en octobre face à la Résistance islamique palestinienne dans le domaine du renseignement, la libération des prisonniers peut être considérée comme le deuxième revers significatif de ce régime sur la scène politique.
Les autorités du régime sioniste ont affirmé à plusieurs reprises qu’elles raseraient Gaza et poursuivraient leurs attaques jusqu’à l’élimination complète du Hamas.
Netanyahu a déclaré à plusieurs reprises qu'il n'y aurait « pas de cessez-le-feu » à moins que « tous les otages » ne seraient libérés. Même les responsables militaires israéliens ont souligné qu’un cessez-le-feu temporaire aiderait le Hamas, mais ils ne l’accepteraient pas.
La qualité des échanges est également remarquable. Pour chaque captif israélien, trois prisonniers palestiniens ont été libérés. En outre, des camions transportant du carburant et d’autres fournitures nécessaires ont également trouvé leur chemin vers Gaza.
La frustration excessive des autorités sionistes et les critiques des courants politiques au sein du régime concernant cet échange, ainsi que la joie exprimée par les prisonniers palestiniens libérés et leurs familles et par le peuple palestinien, indiquent clairement que le régime israélien a subi sa deuxième défaite majeure en les 45 derniers jours.
La frustration parmi les autorités du régime sioniste face à l'échec de l'échange de prisonniers et à la liesse du peuple palestinien est si intense que le ministre de la Sécurité intérieure du régime a qualifié la tenue de célébrations à Al Qods occupée pour la libération des prisonniers d'approuvant " terrorisme".