La mission a déclaré mercredi que le récent assassinat, survenu dans le cadre d'un conflit armé actif à Damas, constituait non seulement une violation du droit international et de la Charte des Nations Unies, mais également du droit international des droits de l'homme.
L'ambassadeur iranien et représentant permanent auprès de l'ONU, Amir Saeed Iravani, a également écrit hier soir une lettre au secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, et au président du Conseil de sécurité de l'ONU, José de la Gasca Lopezdomingue, qui a déclaré que l'Iran a ses droits légitimes et inhérents, fondés sur le droit international et la Charte des Nations Unies, pour une réponse décisive au moment opportun.
"L'Iran réaffirme également le droit inhérent de la République arabe syrienne, en vertu du droit international, de prendre toutes les mesures nécessaires en réponse aux attaques terroristes et aux actes d'agression du régime israélien contre sa souveraineté, son indépendance et son intégrité territoriale", a déclaré Iravani.