Selon Iqna, citant Al-Quds al-Arabi, Ahmed Sadouq, membre du Parlement algérien et chef de la deuxième faction la plus importante de ce Parlement, a vivement critiqué l'inclusion par les États-Unis du nom de l'Algérie dans la liste des pays qui violent la liberté religieuse. Ce parlementaire a décrit cela comme une punition pour la défense algérienne de la cause palestinienne par l'Algérie.
Cette action des États-Unis a été fermement condamnée par d'autres groupes politiques en Algérie, et certains ont accusé les États-Unis de punir l'Algérie en raison de sa position de soutien à la cause palestinienne.