Des journalistes de Global BC se présentent à la résidence de l’activiste canadienne pro-Palestine Charlotte Kates qui vient de recevoir un prix de droits humains de la part du Haut Conseil iranien des droits de l’homme.
« Ils lui ont notamment demandé si elle était une espionne iranienne ou payée par l'Iran. », a annoncé le réseau Samedoun, un centre de protection des prisonniers palestiniens, auquel appartient Charlotte Kates.
« Son seul crime : s'opposer au génocide d’Israël à Gaza. », a ajouté le Samedoun .
Ce harcèlement médiatique contre une figure active dans le domaine de la défense des droits de l’homme dévoile bien la politique de double standard du régime canadien face à la question des droits humains.