Réagissant au drame, Esmail Beqaï a écrit sur sape X que le régime sioniste a délibérément pris pour cible, aux premières heures du vendredi 4 novembre, la résidence de journalistes dans le sud-est du Liban, ce qui a provoqué la mort en martyr Ghassan Najjar et Wissam Qasim, le caméraman, et de Mohammad Reza. le technicien de diffusion des réseaux Al-Mayadeen et Al-Manar.
Le diplomate a condamné l’attaque et l’a qualifié d’« autre exemple flagrant du crime de guerre barbare d'Israël ».
Il a rappelé à cette occasion un triste bilan selon lequel le régime israélien a tué 180 journalistes et membres des médias rien qu'au cours de l'année écoulée.
Baghai a souligné que les journalistes et personnels des médias sont sous la protection du droit international humanitaire et que la protection des civils, parmi lesquels les journalistes et les travailleurs des médias, est réglementée par de nombreux traités internationaux dont les Conventions de Genève de 1949, notamment la Troisième Convention de Genève, et les Protocoles additionnels de 1977, notamment l'article 79 du Premier Protocole additionnel relatif à la protection des journalistes qui accomplissent des missions professionnelles périlleuses dans des zones de conflit armé.
Vendredi 25 octobre au petit matin, l’armée sioniste a pris pour cible l'hôtel où étaient logés nombreux journalistes, photographes et techniciens, représentants divers médias dans le quartier de Hasiba au Liban, avec une attaque directe et délibérée, qui a entraîné le martyre d'un certain nombre d'entre eux. A ce bilan s’ajoute plusieurs blessés.
Date de publication: 25 octobre 2024 - 16:47
«Téhéran (IRNA)-Un autre exemple du crime de guerre commis par Israël », c’est ainsi qu’a qualifié le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères les frappes nocturne ciblée des résidences de journalistes dans le sud-est du Liban.