Téhéran - IRNA - Un média russe a révélé que des groupes terroristes opérant dans les régions du nord de la Syrie planifiaient de mener des attaques chimiques contre des zones résidentielles situées dans les banlieues d'Alep et d'Idlib.

Citant Sputnik, l'IRNA a rapporté que le groupe terroriste Hayat Tahrir al-Cham (ex-Front al-Nosra) s'apprête à utiliser des gaz toxiques dans les zones résidentielles des banlieues d'Alep et d'Idlib.

"Des terroristes ont transféré plusieurs bonbonnes contenant des gaz toxiques depuis l'un des quartiers généraux du groupe terroriste "Parti du Turkistan", situé dans la banlieue de la région de "Jisr al-Choghur", avant de les transférer vers la banlieue sud d'Idlib et d'autres endroits de la périphérie ouest d'Alep avec les ambulances du groupe des Casques blancs", a-t-on appris de la même source.

Les ennemis de la nation syrienne ont accusé à plusieurs reprises le gouvernement de Damas de recourir au scénario d'attaques chimiques contre la population pour attaquer ce pays.

Le groupe des Casques blancs a tenté à plusieurs reprises d'utiliser des produits chimiques en coopération avec des terroristes pendant la guerre syrienne.

Pendant la guerre syrienne, le groupe des Casques blancs, en coopération avec les terroristes, a tenté à plusieurs reprises, par la mise en scène chimique, de créer de fausses scènes de bombardements chimiques en Syrie, pour que les États-Unis et d'autres pays occidentaux puissent s'imposer directement dans la guerre syrienne afin d'aider des terroristes de Daech et Hayat Tahrir al-Cham mais à chaque fois, leur complot a été déjoué. Cependant, les États-Unis et leurs alliés ont bombardé la Syrie à plusieurs reprises sous ce faux prétexte.

Aujourd’hui, avec la reprise des attaques terroristes en Syrie, il semble que les groupes terroristes et leurs protecteurs occidentaux et sionistes tentent une fois de plus de mettre en œuvre ce scénario répété et raté.

Avec le soutien de certains pays et l'arrivée des renforts étrangers, les terroristes ont lancé mercredi matin une attaque d'envergure contre les positions de l'armée syrienne au nord-ouest, à l'ouest et au sud-ouest d'Alep.

Cette attaque terroriste contre les positions de l'armée syrienne a violé l'accord de cessez-le-feu conclu en 2020 parce que cette zone est soumise à l'accord de « zone de désescalade » signé avec la garantie de la Turquie dans la ville d'Astana et englobe les zones d'Idlib, la périphérie d'Alep et certaines parties de Hama et de Lattaquié.