En réponse à une résolution iranophobe et politisée sur la situation des droits de l'homme en République islamique d'Iran à l'Assemblée générale de l'ONU, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères de la RII, Esmail Baqaï, a déclaré ce mercredi 18 décembre que la proposition de cette résolution par le Canada avec le soutien systématique de certains pays occidentaux et la répétition des allégations sans fondement basées sur de fausses informations et des arguments partiels et partiaux n'ont aucune base légale.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a une nouvelle fois souligné les efforts de la République islamique d'Iran pour préserver et respecter les droits de l'homme en tant que « nécessité religieuse juridique et morale » prévue par la Constitution et les lois pertinentes de la RII ainsi qu'aux normes de la religion noble de l’Islam dont la RII est adepte et qu’elle n'hésite pas à faire des efforts dans ce sens.
Se référant au fait que la majorité des États membres de l'ONU, en votant contre, neutre ou abstention, ont manifesté leur mécontentement face à l'utilisation abusive de l'Assemblée générale des Nations Unies et à l'instrumentalisation des préoccupations en matière de droits de l'homme, a précisé : « De telles actions injustifiées de la part de certains acteurs, qui ont eux-mêmes un long antécédents de violations des droits de l'homme, dont et notamment par le biais des soutiens militaire et politique à l'Occupation et au génocide contre les Palestiniens, non seulement, ne contribuent pas à améliorer la situation des droits de l'homme et à les faire respecter au niveau mondial, mais encore réduit le concept élevé des droits de l’homme à des fins intéressées et en fait un outil de pression politique contre les nations.
La question des droits de l’homme et l’Organe onusienne qui s’en occupe sont systématiquement instrumentalisée par l’Arrogance mondiale et l’Occident maximaliste pour porter atteinte à la souveraineté des États et justifier les velléités de domination politique, financière, économique et idéologique. Ces abus doivent cesser, s’est emportée à maintes et maintes reprises la RII.