D’après le rapport de Reuters, en dépit des sanctions les plus sévères imposées par l'Occident, l'Iran a mis en place un commerce mondial florissant pour son pétrole qui s'appuie sur une flotte de pétroliers et sur des acheteurs consentants en Asie.
Faisant référence au retrait américain de l'accord nucléaire avec l'Iran et de la réimposition des sanctions sur le pétrole iranien en 2018, l’article indique que les exportations de pétrole de Téhéran ont rapporté 53 milliards de dollars en 2023 et 54 milliards de dollars l'année précédente, selon les estimations de l'Administration américaine d'information sur l'énergie, et la production en 2024 a atteint son niveau le plus élevé depuis 2018, d'après les données de l'OPEP.
Reuters a souligné le retour au pouvoir de Donald Trump, à partir du 20 janvier et son rôle dans le retrait de l'accord nucléaire et le renforcement des sanctions contre l'Iran et a ajouté : Trump devrait à nouveau appliquer la politique de pression maximale contre l’industrie pétrolière iranienne, mais la méthode iranienne pour contourner les sanctions reste en place.