Le ministère iranien des Affaires étrangères a souligné que le cessez-le-feu à Gaza est le résultat de la résistance du grand peuple palestinien et de Gaza face à " l'un des plus grands génocides et déplacements de population pendant l'histoire ".
Il a souligné que la trêve est également le résultat de la solidarité et de l'unité du peuple de Gaza dans sa résistance honorable et sa fermeté contre le déplacement forcé des Palestiniens.
" Depuis plus de 15 mois, le régime occupant sioniste et génocidaire a violé de manière flagrante, systématique et généralisée les principes et normes fondamentaux du droit international, des droits de l'homme et du droit humanitaire, et en commettant les crimes les plus grave et les crimes contre l’humanité, il a poursuivi le plan d’" anéantissement colonial " du peuple palestinien, initié il y a plus de huit décennies avec le soutien ou le silence des puissances coloniales", précise le communiqué.
Le communiqué indique que ce régime a franchi toutes les lignes rouges, légales et éthiques et qu'il a enregistré un nouveau niveau de sauvagerie dans l'histoire.
"Le meurtre insensé des hommes, en particulier de femmes et d'enfants, la destruction de maisons et d'infrastructures vitales, la démolition d'hôpitaux et les attaques contre les écoles, les camps de réfugiés et les tentes, les journalistes, les médecins et les infirmières sont des exemples récurrents de crimes commis au cours des quinze derniers mois, visant à rayer la Palestine de la carte et à briser l’esprit de la Résistance" , précise le communiqué.
Parallèlement à la cessation du génocide à Gaza, la communauté internationale doit accorder une attention particulière aux graves violations du droit international, du droit humanitaire et des droits de l'homme en Cisjordanie et aux attaques continues du régime occupant contre la mosquée al- Aqsa. La communauté internationale doit affronter sérieusement et efficacement l’agression du régime sioniste dans toute la Palestine occupée et préparer le terrain pour l’arrestation, le procès et la punition des dirigeants criminels du régime israélien pour avoir commis les crimes internationaux les plus graves définis par la Cour pénale internationale. "