Téhéran-IRNA- Le conseiller du commandant en chef des forces armés sur les affaires militaires a déclaré que le régime sioniste ne serait jamais en mesure de détruire la pensée, les idées et le pouvoir du Hamas, du Jihad islamique de la Palestine, du Hezbollah libanais et d’Ansarallah du Yémen sur les plans militaire et religieux.

" Avec un regard approfondi sur les récentes évolutions qui traversent la région, le monde a pris conscience de la profondeur de la conspiration et de la malveillance de l’axe américano-sioniste avec le soutien direct des pays occidentaux et le silence assourdissant des organisations internationales ", a déclaré le général de brigade Amir Hatami, lors d'un discours lundi.

Le général de brigade Hatami a rappelé qu'au cours des 15 derniers mois, des changements rapides et importants ont eu lieu dans la région. Il a indiqué qu'avant l'opération " Tempête d'al-Aqsa ", le régime sioniste planifiait de normaliser ses relations avec les pays de la région dans le cadre des " Accords d’Abraham ". Cependant, a-t-il ajouté, l’opération Tempête d'al-Aqsa menée par le Hamas et l'endurance vaillante et la détermination des combattants du Hamas et du Hezbollah, ont sapé ce processus.

"Au niveau international, le Premier ministre et le ministre des Affaires militaires du régime sioniste, que les Européens prétendent être la seule démocratie de la région, ont été reconnus coupables de crimes contre l'humanité devant la Cour internationale de justice de La Haye et de nombreux pays et gouvernements sont prêts à mettre en œuvre la décision de la Cour", a-t-il réaffirmé. Et d'ajouter : "L’armée du régime sioniste a échoué dans la guerre terrestre contre les combattants du Hamas et du Hezbollah. Il a non seulement réussi à éliminer le Hamas et le Hezbollah et à libérer ses captifs, mais aussi il a été contraint de se retirer et de se soumettre au cessez-le-feu."

" Le régime criminel sioniste se trouve dans sa pire situation économique et financière et, selon des sources fiables, plus de 4 000 entreprises commerciales ont quitté les territoires occupés, ce qui l'a contraint à emprunter des milliards de dollars aux pays occidentaux pour financer ses dépenses de guerre », a-t-il soutenu.