Il a fait ces remarques lors de la réunion du Conseil des gouverneurs de l’AIEA.
«Bien que la cause première de la situation actuelle soit le retrait unilatéral des États-Unis de l'accord et des pays, entreprises et banques menaçants qui sont disposés à travailler avec l'Iran pour faire face à des sanctions, il ne faut cependant pas ignorer la responsabilité des autres parties», a déclaré le représentant iranien auprès de l'AIEA. Ils devraient tirer les leçons nécessaires et s'appuyer sur l'expérience passée pour compenser les dommages encourus et redéfinir le terrain pour la poursuite de l'accord."
«Les sanctions unilatérales et illégales inhumaines imposées par les États-Unis ont directement visé la vie des gens ordinaires, notamment en empêchant la fourniture de médicaments aux personnes dans le besoin», a-t-il ajouté, selon le compte Twitter de la mission permanente de l'Iran auprès de l'ONU.
Gharibabadi a ajouté: «L'imposition de restrictions ou de sanctions de toute nature à la fourniture de médicaments, en particulier dans cette situation critique où le monde entier, y compris l'Iran, est confronté au coronavirus, constitue une violation manifeste du droit à la santé et du droit à la vie .»
«L'approche de la République islamique d'Iran au cours des quatre dernières années après la date de mise en œuvre montre clairement sa détermination à mettre en œuvre les engagements pris dans le cadre de l'accord et prouve sa volonté ardente de trouver une solution rationnelle et pratique aux problèmes», a-t-il ajouté.
«Dans une vue d'ensemble des relations entre l'Iran et l'Agence, il convient de noter que le rapport du DG englobe également des faits sur le terrain qui, techniquement parlant, plus on pourrait approfondir le rapport, mieux serait l'exemplaire actuel que le niveau de coopération entre l'Agence et l'Iran soit compris», a-t-il conclu.
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