S'adressant à une réunion du Haut Conseil de la magistrature, il a évoqué la réaction de l'UE et du Commissariat aux droits de l'homme contre les Qisas (châtiment) transportés dans l'une des villes iraniennes, disant que bien qu'ils nous conseillent d'adhérer au droit international, il faudrait leur demander où étaient ces lois internationales au moment où Fakhrizadeh et le général Soleimani sont assassinés, et pourquoi, sur la base de ces lois, ils n'ont pas officiellement condamné les Américains et les sionistes pour ces crimes?
Où sont ces lois lorsque des maisons au Yémen sont démolies sur des enfants, et que les terres des gens sont usurpées en Palestine et que des colonies sont construites et que des gens sont tués.
Pourquoi ces lois internationales ne sont pas utilisées pour condamner les auteurs de ces crimes, s'est-il demandé.
Evoquant la stratégie de neutralisation des sanctions, l'ayatollah Raeisi a déclaré que tous ceux qui travaillent dans les domaines monétaire et financier, de la production, de l'importation et de l'exportation doivent savoir que la stratégie de neutralisation des sanctions est une stratégie qui a fonctionné et fonctionnera également.
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