S’agissant des récentes allégations tenues par Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), selon lesquelles il était nécessaire de relancer le PGAC après la formation d'un nouveau gouvernement en Iran, le Vice-ministre iranien des A.E. a répondu : « M.Grossi n'a probablement aucune connaissance du dynamisme politique en Iran. Les négociations nucléaires font partie des enjeux macro-politiques des Affaires étrangères de la République islamique d’Iran et les décisions à ce sujet sont prises aux plus hauts niveaux de l’Ordre d’Etat. »
Il a ajouté : « La conclusion d'un accord dépend de la satisfaction des exigences clés et de la dissipation des préoccupations fondamentales de la République islamique, et une fois atteint un tel point, un accord sera conclu, que ce soit avec ce gouvernement (Rohani) ou avec le futur gouvernement. »
« Bien sûr, je dois dire que nous sommes plus près que jamais d'une entente, et j'espère personnellement qu'une entente sera conclue au sein de l’actuel gouvernement (Rohani) », a souhaité le Vice-ministre iranien des Affaires étrangères et le principal négociateur de la RII pour la relance du PGAC, Seyyed Abbas Araghtchi.
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