Ali Saladjegheh, le chef de l'Organisation de protection de l'environnement, a déclaré lors de la 26e Conférence des Nations Unies sur le climat (COP26) qu'en matière de coopération internationale et de toutes les parties prenantes dans le monde, l’Iran est malheureusement confronté à un obstacle appelé terrorisme économique.
Le vice-président iranien a noté qu'il s'agit d'une longue et triste histoire de la prise des affaires humaines à des fins politiques par certains pays.
Ali Saladjegheh est arrivé à Glasgow lundi dernier en tant que chef de la délégation iranienne et a eu des réunions importantes avec les chefs de certaines des délégations participantes et les directeurs d'organisations internationales en marge du sommet sur le climat COP26. Lors d'une rencontre avec Carlos Manuel Rodriguez, chef du Fonds pour l'environnement mondial, il a critiqué la réduction de l'aide à l'Iran du Fonds pour l'environnement mondial.
Faisant référence à la coopération précédente du Fonds pour l'environnement mondial (FEM), le vice-président a déclaré : « L'Iran a bénéficié de l'assistance de ce fonds jusqu'au cinquième cycle du Fonds pour l'environnement mondial (FEM) et a accéléré l'avancement des objectifs environnementaux avec le l'aide mentionnée, alors que l'octroi de cette aide a été réduit depuis le cinquième tour. »
Lors de cette réunion, Saladjegheh a appelé à l'allocation de fonds iraniens dans le prochain cycle d'assistance de ce fonds, compte tenu de la nécessité de prendre en compte les effets transfrontaliers de l'environnement. Des négociations sont en cours pour le huitième tour de la subvention du Fonds pour l'environnement, qui sera finalisé d'ici juin de l'année prochaine.
Le 26e Sommet des Nations Unies sur le climat, Cop26, a débuté à Glasgow, en Écosse, le dimanche 9 novembre, avec la participation de milliers de dirigeants et de représentants de 200 pays.
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