Dans son soliloque le martyr Soleimani cherche son tueur et se dit « impatient » de le rencontrer, celui qui l’emmènera « au sommet du bonheur » :
« Viens ! S'il te plaît viens !
J'ai perdu patience, allez !
Viens avec un rasoir nu, ma gorge est prête à être tranchée et mon sang est prêt à sauter du corps.Viens et libère-moi de cette prison…» Peut-on lire dans sa note.
Sa fille Narjes Soleimani, membre du Conseil municipal islamique de Téhéran, à l’occasion du deuxième anniversaire de la mort en martyr de son père, a lu cette écriture lors d’une réunion du Conseil ce lundi 3 janvier.
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