Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a ajouté : « Pour la République islamique d'Iran, qui condamne les mesures coercitives unilatérales, le fait de ne pas traiter les effets négatifs de ces actions sur la jouissance des droits de l'homme est un signe du manque d'impartialité et de l’incomplétude du rapport émis par le Rapporteur spécial à la 49e session du Conseil des droits de l'homme. »
« La République islamique d'Iran a fourni ses commentaires détaillés sur ce rapport, qui a été officiellement publié par le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies », précise le diplomate.
Rejetant les fausses accusations et allégations du rapporteur, qui sont « fondées sur des informations erronées reçues de sources biaisées », dont notamment des groupes terroristes anti-République islamique et occidentales, Khatibzadeh a souligné : « Bien que l’Iran ne reconnaisse pas la mission intéressée du Rapporteur spécial et la résolution politisée du Conseil des droits de l'homme, mais il a toujours exprimé officiellement ses considérations en réponse. Malheureusement, cette approche honnête s'est heurtée à l'indifférence du rapporteur qui néglige systématiquement les opinions de l'Iran, ce qui confirme son approche politisée et biaisée. »
« L'Iran tout en rejettent l'approche double et hypocrite des pays occidentaux en matière de droits de l'homme, s'engage à soutenir et à promouvoir les droits humains dans le monde et ne cesse de promouvoir, toujours aussi fermement, les droits de l'homme de son peuple malgré l'imposition de mesures coercitives américaines unilatérales », a conclu le porte-parole de la diplomatie de la RII.
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