Le film "Hanas" (Le Souffle), qui raconte une histoire romantique sur la vie de ma mère et de mon père dans les jours précédant son assassinat, a été projeté dans les cinémas à travers le pays pendant plus d'un mois. Jusqu'à présent, des dizaines de milliers de mes compatriotes ont regardé ce film et ont appris une partie de la souffrance que ma famille a vécue en cours de route. Au cours de ces années, nous avons considéré la sympathie des citoyens de notre pays avec nous comme un encouragement à nos esprits et comme un baume pour nos blessures.
Le temps est maintenant venu pour tous les peuples du monde de prendre connaissance de certaines des souffrances endurées par le peuple iranien au cours de ces décennies et de réaliser que les Iraniens sont l'une des plus grandes victimes de crimes contre les droits de l'homme, car ils, en plus d’endurer 8 ans de guerre vile (1980-1988), qui a été l'un de ses résultats est l'effusion du sang d'environ 200 000 jeunes Iraniens, dont plus de 17 000 (le peuple iranien) ont été martyrisés à cause du terrorisme.
Je serais heureux si vous, en tant que représentants de vos pays, voyiez une petite partie de ces crimes majeurs contre l'Iran et les Iraniens, lit-on dans la lettre de la fille du martyr.
Il est à noter que le martyr Dariush Rezaei Nejad, le troisième martyr nucléaire iranien, est né en 1977 dans la ville d'Abadanan, province d'Ilam, dans l'ouest de l'Iran.
Rezaei Nejad a été abattu par des agents terroristes de l'entité sioniste le 23 juillet 2011 à Téhéran devant sa femme (Shohreh Pirani) et sa jeune fille (Armita).
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