Selon le rapport de la zone parlementaire de l’IRNA, Zohra Elahian, chef de la commission des droits de l'homme du parlement iranien, a déclaré lors de la 7e conférence des victimes du terrorisme à l'occasion de la Journée internationale du souvenir et de la commémoration des victimes du terrorisme, qui s'est tenue en présence de Mme Engel Marie, responsable du Centre d'information des Nations Unies en Iran, et d'un groupe de familles de victimes du terrorisme. : « Nos premières réunions au sein du Comité des droits de l'homme visaient à soutenir les familles des martyrs de la terreur, pour faire connaître au monde leur voix, et dans ce cadre, nous avons eu plusieurs correspondances avec les responsables du pays et les responsables d'organisations de défense des droits de l'homme, le secrétaire général des Nations unies et de l'Union européenne. »
Cette députée iranienne (représentante de la ville de Téhéran) a déclaré : « La désignation du 21 août comme Journée internationale du souvenir et de commémoration des victimes du terrorisme était une initiative de l'Iran, et que les Nations Unies ont également accepté cette proposition. Soutenir et transmettre les voix des familles opprimées des martyrs du terrorisme fait réfléchir les organisations internationales et de défense des droits de l'homme sur l'état de la paix et de la sécurité dans le monde, mais on constate malheureusement que les pays qui revendiquent les droits de l'homme et le soutien aux victimes du terrorisme, comptent eux-mêmes parmi les plus importants soutiens des groupes terroristes. »
Elle a poursuivi en déclarant que le groupuscule MEK est actuellement soutenu par certains pays européens qui encadrent leurs réunions et leurs congrès annuels, et a déclaré : « 17 000 compatriotes iraniens ont été martyrisés par eux et ont été assassinés ; Des civils innocents, des enfants, des scientifiques nucléaires à d'autres hauts fonctionnaires, et le seul crime de ces victimes était de vouloir servir l'humanité. »
« L’assassinat du martyr Soleimani qui était aimé des nations libres du monde, a été commis par les États-Unis, et son seul crime était simplement de sauver la vie de milliers de femmes et d'enfants des griffes de Daesh et de sauver la région du mal des groupes terroristes. Et Trump lui-même a été le responsable de cette terreur et il n'a pas hésité à annoncer cet ordre d'assassinat, alors qu'il prétendait être lui-même d’être l'un des défenseurs des droits de l'homme et son administration publiait des rapports contre la mise en œuvre des droits de l'homme dans d'autres pays. », a déclaré la chef de la commission des droits de l’homme de l’Assemblée islamique d’Iran.
Cette membre de la Commission de sécurité nationale du 11e Parlement, faisant référence au processus de suivi de l'assassinat du martyr Soleimani au sein de la Commission des droits de l'homme du Parlement, et soulignant la tenue de plusieurs réunions à cet égard, a déclaré : « Aujourd'hui, 2 000 pages de preuves ont été préparés avec la coopération de l'Irak et sont à la disposition de 5 pays jusqu'à ce qu'ils poursuivent cette affaire par procuration et intentent une action en justice dans les instances internationales. »
« Nous avons eu des conversations avec les responsables des droits de l'homme des parlements des pays voisins, y compris l'Irak, afin qu'ils puissent aider à faire avancer cette affaire, coopérer au dépôt de poursuites et de plaintes contre les auteurs de l'assassinat du Général Soleimani ; Les organisations non gouvernementales ont beaucoup de capacités dans les forums internationaux et elles peuvent suivre ce dossier au-delà des gouvernements. », a conclu Elahian.
Zohra Sadat Lajevardi a également déclaré que lorsque nous examinons de près les crimes des membres du groupuscule MEK, nous voyons qu'ils ont joué, dans les années 1980, un rôle similaire à Daesh dans les années 2010 et a déclaré : « Les terroristes du MEK ont exécuté trois membres du CGRI sous le nom de l’opération d'ingénieurs et après de nombreuses tortures, ils les ont brutalement enterrés vivants. »
La représentante du peuple de Téhéran au parlement a poursuivi : « Ce qui nous contrarie, c'est qu'ils veulent changer la place du bourreau et du martyr, alors il faut avoir une narration correcte des récits de ces crimes. »
Modjtaba Zonnouri, le représentant de la ville de Qom, a également condamné les crimes des terroristes du MEK lors de cette réunion et a demandé aux Nations Unies et aux organisations internationales de s'occuper de ces crimes et de ne pas soutenir les terroristes dans certains pays européens.
Mme Engel Marie, responsable du Centre d'information des Nations Unies en Iran, a également lu le texte du message du Secrétaire général des Nations Unies à l'occasion de la Journée internationale de commémoration et d'hommage aux victimes du terrorisme.
Lors de cette réunion, les membres des familles des victimes du terrorisme ont expliqué l'histoire de la terreur liée à leur famille et ont exigé le suivi de leurs dossiers auprès des institutions internationales.
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