La société de données Kepler, qui fournit des services de suivi des pétroliers, a déclaré que les réserves de pétrole invendues de l'Iran dans les installations terrestres ont diminué de 6 millions de barils à 50 millions de barils, tandis que les réserves de pétrole de l'Iran sur l'eau ont également diminué à 93 millions de barils de 107 millions de barils.
Selon le rapport, l'Iran a exporté du brut de sa production quotidienne, ainsi que 20 millions de barils de son pétrole stocké vers les marchés mondiaux. Une partie importante de l'exportation de pétrole stocké a été transportée vers la Chine.
En outre, Vortexa, un suivi en temps réel des cargaisons d'énergie, a vérifié que les exportations de pétrole iranien ont connu une tendance à la hausse, signalant que les exportations de pétrole de l'Iran en janvier s'élevaient à un million de bpj, alors qu'il a diminué à 700 000 bpj en mai, mais le volume a augmenté de juin à août.
L'OPEP a cité des informations basées sur des sources secondaires, annonçant que la production pétrolière iranienne avait augmenté de 5 000 bpj en août. L'Iran a produit 2 572 000 bpj ce mois-ci.
La production pétrolière iranienne en août a augmenté d'environ 30 % par rapport à la quantité déclarée au cours de la même période en 2020, lorsque l'administration américaine de l'époque a décidé d'imposer la soi-disant pression maximale sur Téhéran.
L'Iran avait produit 1 991 000 bpj en 2020.
La croissance de 30 % de la production de pétrole brut en Iran malgré la poursuite des sanctions imposées par les États-Unis indique que la politique d'embargo est vouée à l'échec et que les Iraniens ont réussi à annuler les impacts négatifs des politiques hostiles américaines contre l'Iran.
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