"Pour arrêter les émeutes à Amol, nous avons été envoyés au point de rassemblement avec des collègues de la police. Les manifestants, dont beaucoup portaient des masques, ont attaqué les agents avec des pierres et des briques, et les agents se sont défendus avec des boucliers et ont essayé de contrôler la situation », a-t-il déclaré dans une interview à la télévision iranienne.
"Sur la 17e place Shahrivar, deux personnes se sont approchées de moi, l'une d'elles m'a frappé avec un objet pointu sur le cou, d'où le sang a rapidement jailli, il était clair d'après la manière de faire que la personne qui m'a poignardé était un professionnel ", a-t-il ajouté.
"Après cet incident, j'ai été emmené dans une ambulance pour être emmené dans un centre médical, mais certaines personnes ont attaqué l'ambulance et ont voulu mettre le feu à l'ambulance, ils ont arrêté l'ambulance, mais la police m'a sorti de l'ambulance et m'a emmené au centre médical dans une autre voiture », a-t-il ajouté.
La tenue de rassemblements contre la triste mort de Mahsa Amini a donné l'occasion à certaines forces entraînées soutenues par l'Occident d'infiltrer les manifestants et de se livrer à des activités violentes, poussant l'atmosphère des manifestations vers la violence.
L'une de ces actions est l'attaque contre la propriété publique, qui a causé d'importants dégâts ces derniers jours.
À l'heure actuelle, les biens de 2 agences bancaires ont été volés et 219 guichets automatiques ont été endommagés.
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