« Grâce au front qui comprend le gouvernement Assad, la Russie, l'Iran et les milices libanaises du Hezbollah, la sécurité des chrétiens en Syrie et dans ce pays a été préservée et la célébration de Noël est possible là-bas. », avait déclaré Georgia Meloni, la gagnante de l'élection du Premier ministre italien, dans une interview en 2018.
Dans leur lutte contre le terrorisme de Daesh en Syrie et en Irak, les combattants de la Résistance et les forces dirigées sous commandement du Général Soleimani ont sauvé la vie de milliers de chrétiens d’Orient.
Dans un message sur Twitter en 2014, elle avait également dénoncé un « nouveau massacre de Palestiniens » par le régime sioniste à Gaza.
Dans un article titré « Meloni a salué l’Iran et le Hezbollah comme défenseurs des chrétiens syriens en 2018 », l’édition francophone du site sioniste Time of Israël a exprimé les inquiétudes de Tel Aviv à propos des idées pro-Résistance de cette figure politique bruyante italienne accusée déjà d’être proche de Moscou. Bien que Georgia Meloni dans ses dernières années ait essayé à faire masquer ses positions anti-sionistes mais l’arrivée au pouvoir de cette personnalité de la droite italienne a inquiété l’Union européenne, la France et le régime sioniste.
Les médias français ont décrit d’ « un séisme politique en Europe », l'arrivée en tête des élections législatives de Giorgia Meloni et de son parti FDI, qui remporte plus de 44 % des suffrages.
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