Selon l’IRNA, suite à la visite officielle du vice-ministre politique des Affaires étrangères en Hongrie et le négociateur en Chef d’Iran dans les pourparlers de Vienne sur la levée des sanctions et la relance du PGAC (Plan global d’action conjoint sur le nucléaire iranien de 2015), Ali Bagheri, a rencontré un groupe d'activistes économiques et de dirigeants d'entreprises hongrois.
Lors de cette réunion, les dirigeants d'un groupe d'entreprises hongroises, tout en expliquant leurs idées pour développer les relations économiques entre leur pays et l'Iran, ont annoncé et clarifié leur volonté d'être plus actifs sur le grand marché commercial et économique de l'Iran.
« Il existe de bons terrains et potentiels pour une coopération bilatérale irano-hongroise dans tous les domaines, notamment l'énergie, l'agriculture, la pharmacie et la gestion de l'eau », ont-ils fait valoir.
Le sous-ministre politique des Affaires étrangères a également déclaré, faisant référence à la poursuite de la guerre en Europe et à la mise en danger de la sécurité énergétique dans cette région du monde :
« Pendant des années, on pensait que des pays qui faisaient l’objet des sanctions comme l'Iran devaient payer le coût des sanctions, mais maintenant les Européens ont saisi cette réalité que les sanctions ont aussi un coût et que s'ils ne révisent pas leurs politiques unilatérales, ils devront en payer le prix qu’est l’augmentation de l'inflation et la mise en péril de leur sécurité énergétique », note le diplomate de haut rang iranien.
Et de conclure : « L'Iran est prêt à partager ses capacités exigeantes et potentielles avec d'autres fournisseurs d'énergie pour le retour de la sécurité énergétique sur le marché. »
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