Le mouvement des gilets jaunes commencé le 17 novembre 2018 continue d’organiser des manifestations populaires hebdomadaires partout en France. Les manifestants critiquent le régime Macron, prônent la justice économique et réclament des réformes politiques institutionnelles.
Le mouvement a été initialement motivé par la hausse des prix du pétrole brut et du carburant, un coût de la vie élevé et des inégalités économiques. Le mouvement a fait valoir qu'un fardeau disproportionné de la fiscalité en France tombait sur les classes ouvrières et moyennes, en particulier dans les zones rurales et périurbaines. Les manifestants ont appelé à une baisse des taxes sur le carburant, à une réintroduction d’un impôt de solidarité sur la fortune, une augmentation du salaire minimum, entre autres.
Les manifestations hebdomadaires se sont heurtés à une répression violente de la police et des services de l’ordre public en France. La mort, la perte des yeux, des mains et des troubles neurologiques causés par les balles explosives sont des prix que les Gilets jaunes ont payé pour demander la justice sociale dans le foyer de la liberté d’expression.
L'action de la police ont entraîné de multiples incidents de perte de membre. Plus de 3 millions de personnes ont participé au mouvement des gilets jaunes.
Juste dans la phase première de ces manifestations avant la crise du Covid-19, le bilan de la répression policières du régime Macron contre les gilets jaunes montre une violation flagrante des droits de l’homme : 11 personnes ont été tuées, 5 personnes ont été amputées, 23 personnes ont été rendues aveugles et 2000 personnes ont été blessées, dont 95 journalistes, 40 étudiants et 30 secouristes volontaires ! Mais il n'y a jamais eu d'attaque médiatiques internationale contre la France car ce n'était pas une République islamique et les élites de ce pays n'ont pas protesté car elles ont compris que rien ne sera obtenu sans sécurité !
La réaction des médias français face aux manifestations des Gilets jaunes en comparant avec la couverture de ces médias face aux émeutes dans les autres pays comme l’Iran exhibe une politique du double standard de la part des services médiatiques occidentaux.
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