En vue de renforcer la cohésion nationale et afin de déjouer les complots des ennemis de la sécurité du peuple iranien, Abdossalam Karimi, le conseiller du président dans les affaires ethniques et des minorités religieuses, a rencontré la famille de Mahsa Amini.
Tout en exprimant les profondes tristesses du gouvernement iranien pour le décès de Mahsa Amini, le conseiller du président de la République islamique d’Iran a insisté sur les grandes capacités de l’administration iranienne dans le domaine de poursuivre juridiquement les revendications logiques.
Lors de cette rencontre avec le conseiller présidentiel, Amjad Amini, le père de Mahsa Amini, a annoncé ses revendications et a insisté sur la supervision du président Raïssi sur le dossier du décès de sa fille.
La famille Amini a également évoqué la possibilité d’un manque dans le traitement médical de Mahsa Amini et a revendiqué la poursuite des responsables éventuels dans cette affaire.
Après cette rencontre tenue dans la maison de la famille Amini, Karimi a présenté au président Raïssi, le bilan de sa réunion avec la famille de Mahsa Amini.
Le 28 septembre et lors d’une interview télévisée, soulignant l’affaire de Mahsa Amini, le Président Raïssi a déclaré qu'après la mort de la jeune femme, il a appelé sa famille et exprimé ses condoléances, ajoutant : « J'ai dit à sa famille que cette nouvelle ne seulement pour moi, mais pour chaque Iranien est déplorable car notre société est axée sur la famille. »
Déclarant que tout le monde est affecté par le fait qu'une femme soit morte de cette façon, le Président Raissi a ajouté : « J'ai dit à sa famille que je suivrai certainement cette affaire. S'il y a négligence et faute dans cette affaire, sachez qu'il y aura un suivi ».
Soulignant que la question de la mort de Mahsa Amini fait l'objet d'une enquête dans divers départements du gouvernement et du parlement, et que le médecin légiste est également chargé de suivre le travail, le Président a souligné : « la question de la mort de cette dame a touché tout le monde ; c'est notre devoir humain pour donner suite à son dossier. »
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