Ali Naderi a souhaité la bienvenue aux ambassadeurs, aux représentants des médias océano-asiatiques, et aux participants à ce sommet et a souligné : « Maintenant que nous avons passé la période du coronavirus après trois ans, c'est une parfaite occasion pour débuter un nouveau chapitre dans le domaine de la communication et de l'activité médiatique et des échanges entre les médias indépendants. »
Se référant à la couverture médiatique des actualités en Iran, ce responsable iranien a déclaré : « Au cours des dernières semaines, les médias du monde entier ont essayé de montrer une image différente de l'Iran, et par conséquent la présence des chefs des agences de presse à Téhéran est très importante car ils peuvent observer, de près, les progrès et les situations qui se déroulent en Iran. »
Le PDG de l'Agence de presse de la République islamique (IRNA) a ajouté : « Cette ère coïncide avec l’établissement du nouvel ordre mondial. »
Dans ce contexte, le PDG de l'agence de presse de la République islamique d'Iran (IRNA) a noté : « Dans la situation médiatique unilatérale actuelle, ce sont les médias indépendants qui devraient couvrir médiatement les événements et les actualités au lieu des médias du courant dominant. »
Le chef de l’IRNA a déclaré que la République islamique a fait l'objet de sanctions unilatérales au cours des quatre dernières décennies en raison de ses croyances et de ses convictions, ajoutant : « Malgré ces sanctions cruelles, le peuple iranien a essayé de résister et de continuer à progresser afin que le pays parvienne à un niveau idéal. L'unité des médias indépendants peut narrer cette oppression et ce processus de confrontation aux sanctions, non seulement pour l'Iran, mais pour les autres pays indépendants du monde. »
Naderi a remercié l'agence de presse sud-coréenne Yonhap d'avoir bien s’occuper de la direction de cette organisation au cours des trois dernières années et d'avoir créé une bonne entente entre les membres de l'OANA malgré les difficultés causées par la pandémie du coronavirus.
Le Chef de l’Agence nationale de la République islamique d’Iran a exprimé son espoir que l'agence de presse de la République islamique d'Iran (IRNA) ouvrira un nouveau chapitre d’échanges entre les médias d'Asie et du Pacifique afin de former un flux médiatique indépendant dans la nouvelle ère des évolutions internationales.
L’Agence de presse de la République islamique d’Iran (IRNA) accueillera la 18e assemblée générale de l'Organisation des agences de presse d'Asie-Pacifique (OANA), fondée en 1961 dans le but de faciliter la diffusion de l'information dans la région, soutenue par l'entité culturelle des Nations Unies (UNESCO).
L'assemblée générale de l'OANA se tient à Téhéran, pendant deux jours, et environ 60 directeurs, managers et rédacteurs en chef de 35 États membres de l'OANA discuteront de divers sujets, notamment le développement et le renforcement de la coopération médiatique.
Le développement et le renforcement de la coopération médiatique entre les États membres est l'ordre du jour le plus important de l'Assemblée générale de l'OANA à Téhéran.
L'Organisation des agences de presse d'Asie-Pacifique (OANA) a voté en faveur de la nomination de l'IRNA à la présidence lors de la 17e Assemblée générale à Séoul.
Lors de 18e assemblée générale de l'Organisation des agences de presse d'Asie-Pacifique (OANA), à Téhéran, l'IRNA assumera la présidence de l’OANA pendant 3 ans et succédera à l'agence de presse sud-coréenne Yonhap.
43 agences de presse de 35 pays d'Asie et du Pacifique sont membres de l'OANA, et la République islamique d'Iran est le seul pays dont les trois agences de presse, dont IRNA, Fars et Mehr, sont membres de cette organisation.
Votre commentaire