Lina Al-Sharif, Asma Al-Sabiei et Abdollah Djilan sont 3 des femmes détenues par les autorités saoudiennes et leur seul crime est d’avoir parlé sur les réseaux sociaux des problèmes des femmes dans la société saoudienne et du déclin des libertés civiques dans ce pays qui est un proche partenaire des États-Unis et des pays occidentaux, ces soi-disant défenseurs des droits de l’homme.
Le nombre réel de femmes ainsi détenues par le régime de Riyad est estimé à plusieurs centaines, mais leurs familles n'osent pas parler de leurs proches enlevées par crainte de représailles de la part des autorités saoudiennes.
L'Organisation euro-saoudienne des droits de l'homme (ESOHR) a déclaré dans un rapport que les détenus saoudiens sont soumis à toutes sortes de tortures.
Selon cette organisation de défense des droits de l'homme, l'Arabie saoudite pratique divers types de tortures mentales et physiques contre les détenus.
Selon cette organisation euro-saoudienne de défense des droits de l'homme, le régime de Riyad utilise diverses méthodes de torture physique, notamment des décharges électriques, la privation de sommeil, des coups, l'arrachement des ongles, la pendaison par les pieds et d'autres cas dans le but de forcer la personne détenue à avouer ou à signer des aveux.
En plus de la torture physique, cette organisation a identifié des tortures psychologiques contre un certain nombre de détenus condamnés à mort, y compris des menaces contre leurs familles.
Selon le rapport de l'Organisation euro-saoudienne des droits de l'homme, en plus de cela, les détenus sont confrontés à d'autres actions telles que la privation de contact avec leur famille, les coups et les insultes quotidiennes, et dans de nombreux cas, la torture entraîne un handicap ou des blessures et des douleurs permanentes. Elle provoque également le coma et la perte de conscience, et dans de nombreux cas, le détenu est privé du droit aux soins.
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