Au cours de l'entretien téléphonique avec son homologue espagnol, José Manuel Albares, Amir Abdollahian a évoqué des questions internationales et bilatérales.
Evoquant les relations historiques entre les deux pays, il s'est félicité de l'élargissement des relations entre Téhéran et Madrid.
AmirAbdollahian a critiqué les attitudes et les actions non constructives de certains pays occidentaux face aux récentes émeutes et incidents terroristes en Iran, ajoutant : Certains responsables européens se préoccupent davantage d'objectifs partisans que des intérêts nationaux de leur pays.
Il a poursuivi : «Nous nous félicitons toujours de l'interaction avec l'Europe alors que les trois pays, l'Allemagne, la France et la Grande-Bretagne, n'ont pas été en mesure, après que l'administration Trump a imposé des sanctions à l'Iran, de mettre en œuvre l'accord nucléaire en tant qu'obligation internationale».
AmirAbdollahian a salué la position de l'Espagne de condamner l'attaque terroriste contre des pèlerins dans le sanctuaire du Chahcheragh à Chiraz.
Pour sa part, le ministre espagnol des Affaires étrangères a condamné lors de l'appel l'incident terroriste survenu il y a deux semaines à Chiraz, et a exprimé la sympathie du gouvernement et du peuple espagnols envers l'Iran, soulignant la nécessité d'adopter le dialogue.
Il a qualifié les relations entre l'Espagne et l'Iran d'historiques et a appelé à la libération de deux citoyens espagnols arrêtés lors des récentes émeutes en Iran.
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