« Aujourd’hui c’est un gros coup de semonce et on espère qu’ils vont l’entendre », a déclaré le secrétaire général de la CGT-RATP, Bertrand Hammache, décrivant la journée d’action du 10 novembre.
Ce jeudi, les Français ont battu le pavé dans les grandes villes de l’hexagone ; Paris, Lyon, Lille, Nîmes, Rennes et Bordeaux. Une grève des transports orchestrée par les syndicats de la RATP et une manifestation massive et interprofessionnelle à l’appel de la CGT (Confédération générale du Travail), un appel également partagé par l’Union syndicale Solidaires, la Fédération Syndicale Unitaire, la Force Ouvrière et l’Union Nationale des Syndicats Autonomes.
« L’idée c’est de donner l’occasion aux manifestants d’agréger leurs colères. On travaille à mobiliser et on espère que les personnes osent se rebeller par rapport à la situation », pointe un secrétaire départemental du syndicat FSU (Fédération Syndicale Unitaire) sur les objectifs de cette journée de mobilisation.
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