Nasser Kan'ani, dans un message sur son compte Twitter, jeudi, après que Biden a affirmé dans un communiqué officiel que son administration soutenait les femmes iraniennes et leurs revendications en matière de droits humains au milieu d'émeutes soutenues par l'étranger à travers le pays, a souligné l'imposition par les États-Unis depuis des années des sanctions les plus sévères contre l'Iran dans ce qu'il a décrit comme du "terrorisme économique".
Il a déclaré que les interdictions de Washington incluaient même l'importation de médicaments pour les patients Iraniens Butterfly souffrant d'épidermolyse bulleuse (EB) ; un type de maladie qui provoque une peau fragile et des cloques.
Kan'ani a déclaré que la revendication du président américain de soutenir les femmes iraniennes intervient alors que Washington n'a "rempli aucun effort pour faire preuve d'inimitié et de cruauté" envers le peuple iranien et "n'a eu aucune pitié pour imposer le terrorisme économique même contre les enfants papillons".
"Le président d'un régime qui, pendant + de 40 ans, n'a ménagé aucun effort pour faire preuve d'inimitié et de cruauté envers la nation iranienne et n'a eu aucune pitié pour imposer le #Terrorisme économique même contre les enfants papillons, prétend défendre les femmes iraniennes", a tweeté le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères , ajoutant : "Si oui, vos sanctions maximales ont-t-ils exclu les femmes et les mères iraniennes ?"
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