Téhéran (IRNA)- Début 2022, le nombre de démissions atteint un niveau historiquement haut, à près de 520 000 par trimestre. Ces chiffres sont le signe d’une “Grande démission” en France.
Selon les chiffres officiels révélés par la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares), le marché du travail en France a connu, en 2022, un phénomène qualifié de "grande démission".
Déjà affaibli lors de la crise sanitaire de la Covid-19, le marché du travail en France montre encore des signes de faiblesse. Les grèves, la baisse des salaires, la hausse des prix, les postes vacants dans les secteurs clés comme l’éducation, les effets négatifs du télétravail, l’instrumentalisation étatique des assurances d’indemnisation, et la vague des démissions, découragent de plus en plus les Français.
Le taux de démission atteint 2,7 % en France au 1er trimestre 2022. Il est au plus haut depuis la crise financière de 2008-2009.
Dans certains secteurs, les employeurs ont déjà des difficultés en vue d’embaucher les nouveaux fonctionnaires. Les écoles manquent d’enseignants. Les Français qui habitent dans les villes frontalières, comme celles qui se trouvent à la frontière avec la Suisse, préfèrent aller travailler hors de France pour obtenir un salaire plus élevé.
Les politiques du régime français avaient des lourdes conséquences pour le marché du travail de ce pays. Les contribuables seront les principaux touchés par les conséquences de cette mauvaise gestion.
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