« Les sanctions n'ont pas affecté nos exportations pétrolières et non pétrolières », a déclaré le Président avant d’ajouter : « Le secrétaire général des Nations unies m'a présenté ses excuses pour ne pas avoir pu lever les sanctions vaccinales, je lui ai dit que nous produisions aujourd'hui six modèles de vaccins différents. Nous sommes passés d'importateurs à exportateurs, et le secrétaire général des Nations unies en a été ébahi. »
Mettant en garde contre la guerre cognitive et hybride de l’ennemi, le Président Raïsssi a poursuivi : « La composante la plus importante du pouvoir en Iran est le peuple. L'ennemi veut affaiblir le pouvoir du pays et saper la confiance du peuple. »
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