Les films français comme « Banlieue 13 » ou « La Haine » ont internationalisé l’ambiance de terreur et de violence qui domine dans les cités périphériques des grandes métropoles en France. Les banlieues de Marseille, Paris et Lyon sont, dans la réalité aussi, le théâtre des affrontements entre les groupes des trafiquants de drogue et une police qui ne se montre pas assez autoritaire dans le contrôle de la situation et la mainmise de la sécurité pour les citoyens français. Peuplées plutôt par les immigrés, ces zones semblent être abandonnées par le ministère français de l’Intérieur.
Dans les grandes villes françaises, les dealers sont omniprésents, vendant cannabis, héroïne, cocaïne... Une montée de la violence notable règne un peu partout dans l’hexagone. En effet, ce sont les jeunes générations qui sont à l'origine des trafics de stupéfiants.
La drogue n’a jamais été aussi facile à trouver et à acheter en France. Dans la rue, sur Internet, sur le darknet, en livraison à domicile, en allant s’en procurer au-delà des frontières, en Belgique et dans les Pays-Bas.
Si ces « Dealers » sont si propagés en France, c’est parce que la demande existe dans la société française. Selon l'Institut National des Statistiques et des Etudes Economiques (INSEE), les Français ont dépensé 4,2 milliards d'euros en 2020 pour s'approvisionner en produits stupéfiants.
On dirait, la police française et le régime Macronie, au lieu d’assumer la sécurité de la nation française, s’engagent plutôt dans la répression des manifestations civiles comme celles des Gilets Jaunes ou des syndicalistes.
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