Le 5 janvier, le Conseil de sécurité s’est rassemblé, à New York, en vue d’examiner le cas de l’acte provocateur du ministre israélien de la Sécurité nationale en prenant l’assaut la Mosquée Al-Aqsa. Lors de cette réunion, Gilad Erdan, l’ambassadeur du régime sioniste à l’ONU, au lieu de répondre aux critiques de la communauté internationale contre les crimes racistes de Tel Aviv, a adressé une série d’accusation contre la République islamique.
À la suite de cette tentative du représentant du régime sioniste lors de la réunion du Conseil de sécurité de jeudi de détourner le sujet de la réunion du traitement de la crise de la profanation de la mosquée Al-Aqsa, l'ambassadeur iranien auprès des Nations Unies a envoyé une lettre au chef du Conseil de sécurité, condamnant les accusations sans fondement du régime sioniste contre la République islamique d'Iran.
Se référant aux événements récents de la profanation de la mosquée Al-Aqsa, Amir Saïd Irvani a souligné dans sa lettre : « Il est regrettable que les actions du régime sioniste en violant gravement les droits de l'homme et les lois internationales dans les territoires occupés palestiniens, y compris les actes d'insulte et de profanation systématiques de ce régime contre le caractère sacré des lieux saints ne sont pas pénalisées par la communauté mondiale. »
Cette réunion du Conseil de sécurité des Nations unies s'est tenue à la demande conjointe de la Palestine et de la Jordanie et avec le soutien des Émirats arabes unis et de la Chine, outre les 15 membres permanents et non permanents du Conseil de sécurité, les représentants de la Jordanie, de la Palestine et du régime sioniste ont pris la parole lors de cette réunion.
L'ambassadeur du régime sioniste, qui était comme toujours impuissant à donner une réponse logique à la colère de la communauté internationale face à la profanation de la mosquée Al-Aqsa, a répété les accusations habituelles du régime de Tel Aviv contre Téhéran.
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