Pour l'épouse du président vénézuélien, la formation d’un mouvement mondial des femmes est une idée « importante et unique »

Téhéran - IRNA –« Le défi auquel nous sommes affrontés, c’est savoir agir sur le moral des femmes et de le raviver. Nous avons su survivre contre le siège criminel de l'impérialisme. Sur cette voie, la paix et la diversité culturelle sont très importants. A cet effet, permettez-moi de vous remercier et de vous féliciter pour votre initiative qu’est la formation d’un mouvement mondial des femmes », a déclaré Cilia Flores, l'épouse du Président vénézuélien, Nicolas Maduro.

Selon IRNA, Celia Flores s’exprimant vendredi soir 20 janvier 2023, à la clôture du Congrès international des femmes influentes, à Téhéran, a déclaré : « Les mouvements impérialistes agissent contre nous à travers les réseaux sociaux et de manière fasciste »

« Les femmes leaders et les femmes révolutionnaires cherchent à se battre pour préserver les valeurs, dont le plus important est l'indépendance », a-t-elle insisté.

Et d’ajouter : « Le défi auquel nous sommes affrontés, c’est savoir agir sur le moral des femmes et de le raviver. Nous avons su survivre contre le siège criminel de l'impérialisme. Sur cette voie, la paix et la diversité culturelle sont très importants. A cet effet, permettez-moi de vous remercier et de vous féliciter pour votre initiative qu’est la formation d’un mouvement mondial des femmes », a déclaré Cilia Flores, l'épouse du Président vénézuélien, Nicolas Maduro.

Selon l'IRNA, le premier Congrès international sur les « Femmes Influentes » a débuté ce vendredi 20 janvier 2023 dans la salle des conférences internationales de Téhéran avec l'accueil officiel par le vice-président iranienne pour les Affaires des Femmes et de la Famille, Ensiyeh Khazali, des épouses des chefs d'État de différents pays participant à l’événement.

Ont participé à ce congrès les épouses des présidents et des premiers ministres de l'Arménie, du Burkina Faso, du Kirghizistan, de la Serbie, l'épouse de l'ancien président de la Guinée, l'épouse de l'ancien président nigérien, l'envoyée spéciale de la première dame du Fédéral République du Nigéria, l'ancienne première dame du Sri Lanka et l'épouse du chef du parti au pouvoir du pays, l'envoyée spéciale du président de la Syrie, la chef du Conseil central de l'Union des femmes du Turkménistan.

Etaient également présentes à cette conférence, qui a débuté hier jeudi, 300 invités étrangers, dont 70 femmes fonctionnaires et militantes actives dans divers domaines, parmi lesquels des ministres, des vice-présidents et des parlementaires. Elles sont venues en Iran pour entendre la voix des femmes iraniennes sans manipulation des médias mainstream occidentaux.

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