La déclaration du ministère a souligné que non seulement l'UE n'a pas une compréhension claire des faits, mais qu'elle est devenue une marionnette du terrorisme d'État américain, du régime sioniste et des groupes anti-nationaux et impopulaires.
Les Européens n'auraient pas commis l'action illégale contre le CGRI, qui est contraire à l'article 2, paragraphe 7, de la Charte des Nations Unies s'ils avaient examiné l'expérience de tentatives similaires par les États-Unis, a-t-il ajouté.
La question que le peuple européen devrait poser aux membres du Parlement européen et aux gouvernements occidentaux est de savoir quel est l'avantage de ce soi-disant boycott contre la plus grande force antiterroriste takfiri dans la région de l'Asie occidentale, lit-on dans le communiqué.
Le ministère annonce son soutien total au CGRI qui est une entité anti-terroriste et anti-arrogante, a-t-il ajouté.
Le ministère se réserve le droit de prendre toute mesure de représailles contre toute initiative portant atteinte à la sécurité de la République islamique, a-t-il souligné.
Le Parlement européen a adopté mercredi un amendement qui a été ajouté à un rapport annuel sur la politique étrangère, appelant l'UE et ses États membres à inclure le CGRI sur leur liste terroriste.
Le parlement a également adopté une autre résolution jeudi, appelant à davantage de sanctions contre les individus et entités iraniens et inscrivant le CGRI sur la liste terroriste de l'UE pour violations présumées des droits de l'homme lors des récentes émeutes.
C'est alors que les services de renseignement iraniens ont trouvé des empreintes d'agences d'espionnage américaines et occidentales lors de récentes émeutes violentes en Iran qui ont coûté la vie à des dizaines de personnes et aux forces de sécurité.
La décision du Parlement européen a été fermement condamnée par les responsables iraniens, les commandants et les forces armées.
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