Actuellement, des centaines de forces de la Mobilisation populaire irakienne (Hachd al-Chaabi) et du Hezbollah libanais, ainsi que des conseillers iraniens et un personnel médical du Front de Résistance islamique, sont continuellement au service des victimes du tremblement de terre dans le nord-ouest de la Syrie, sous sanctions américano-européennes. Un tremblement de terre qui a jusqu'à présent fait près de trois mille morts et des milliers de blessés.
Un tremblement de terre de magnitude 7,8 a touché une partie de la Turquie et de la Syrie, dans la nuit du 5 au 6 février provoquant un drame humain qui s'amplifie chaque jour un peu plus. Selon le dernier bilan diffusé vendredi 10 février, plus de 22 300 personnes ont perdu la vie après le violent séisme qui a frappé lundi la Turquie et la Syrie, l'une des pires catastrophes survenues dans la région depuis un siècle.
Selon l'OMS, 23 millions de personnes sont touchées par le séisme et ses répliques, et le bilan final pourrait avoisiner les 20.000 morts dans les deux pays.
Le Consul général de la République islamique d'Iran à Alep (nord-ouest de la Syrie), Salman Nawab Nouri, a annoncé que 15 unités du génie de la République islamique assistent les unités syriennes et les forces des Forces de mobilisation populaire irakiennes et d'autres forces du Front de la Résistance Islamique dans le déblayage des décombres à Alep. L’équipe médicale de la République Islamique s'est également engagée à fournir des services à la population d'Alep avec 10 ambulances et un nombre de médecins et d'infirmiers.
Plusieurs avions iraniens ont transporté de l'aide humanitaire au peuple syrien frappé par le tremblement de terre.
Les cargaisons humanitaires comprenaient de la nourriture dont des palettes de tentes, de dattes, de riz, de thon et de macaroni et de pâte de tomate. A cela s’ajoute des médicaments et d'autres fournitures nécessaires aux victimes du tremblement de terre.
Le Croissant-Rouge syrien a appelé les Etats-Unis et l'Union européenne à lever les sanctions contre le gouvernement syrien au lendemain du séisme dévastateur.
Depuis 2019, la loi César, loi inique décidée unilatéralement par les États-Unis, impose un blocus sévère sur l’État et le peuple syriens qui manquent de tout.
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