« Nous vivons dans une situation très déplorable et dangereuse et cette crise a probablement des conséquences politiques, économiques, sociales et sécuritaires [pour nous]. », a précisé le président du régime sioniste dans un discours qui a provoqué une large réaction de la part des députés du parti Likoud.
Jeudi soir dernier, considérant que la situation dans les territoires occupés est désastreuse, le président sioniste a déclaré que le régime israélien a traversé une crise historique, a été soumis à un effondrement interne et traverse ses moments les plus difficiles.
« Nous avons atteint le point de non-retour en Israël. », a ajouté ce responsable israélien en critiquant les manœuvres anti-démocratiques du cabinet Netanyahou.
Le président du régime sioniste a déclaré : « La réforme du système judiciaire proposé doit être abandonnée et doit être transformée en un cadre sur lequel tout le monde peut s'entendre. »
Herzog a souligné lundi la semaine dernière que la crise actuelle est un danger ethnique pour le régime sioniste.
Au cours des dernières semaines, des dizaines de villes du nord au sud de la Palestine occupée, dont Tel Aviv, Haïfa, Jérusalem occupée, Beer Sheva, Rishon Letzion et Herzliya, ont été le théâtre de manifestations contre le cabinet d'extrême droite de Netanyahu.
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