Hadiklaim, Mehadrin, Mtex, Jordan River, King Salomon, elles sont des marques des dattes israéliennes exportées vers la France. Les collectifs pro-Palestine appellent à boycotter ces marques qui possèdent des plantations dans les territoires occupés.
Une campagne de mobilisation est également lancée sur les réseaux sociaux en diffusant le hashtag #BoycottIsraeliDates.
Les activistes français demandent aux musulmans de ce pays d’acheter, pendant le mois du Ramdan, les dattes Medjoul, célèbre espèce palestinien cultivé traditionnellement dans la vallée du Jourdain par les paysans palestiniens.
Cette région de Palestine est propice à la culture des palmiers dattiers du fait de son climat chaud toute l'année. Les localités comme Auja, Jiftlik, Zbeidate et Marj Naajeh situées en Cisjordanie vivent de l'exploitation de la production de dattes malgré les difficultés des paysans palestiniens qui subissent toutes sorte de pression de l'armée terroriste israélienne afin qu'ils quittent leur terre.
« En achetant ces dattes de Palestine, vous participez au maintien des paysans palestiniens sur leur terre en leur apportant une indépendance économique. », nous pouvons lire sur une publicité à propos de la datte palestinienne vendue en France.
La même initiative est formée au Royaume-Uni où le groupe des Amis d’Al-Aqsa (FOA) est à l’origine de cette campagne. L’Association invite les musulmans britanniques à ne pas acheter des dattes « made in Israël. »
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