Emmanuel Macron était à Vendôme dans le Loir-et-Cher ce mardi après-midi 25 avril. Depuis la promulgation de la réforme des retraites, le chef de l’État et ses ministres enchaînent les déplacements thématiques sur les problèmes des Français. L’éducation, le logement, les finances, l’écologie et la santé.
Mais les manifestants accueillent le président et ses ministres avec les huées et les concerts des casseroles. Il ne s’agit plus d’un mécontentement politique. Les Français montrent une haine profonde envers Macron qui ne veut pas entendre la voix du peuple.
Les casserolades résonnent lors des déplacements du chef de l'Etat et des ministres. Ce moyen de contestation sonore existe depuis le XIXe siècle en France.
Macron qui aime tellement s’adonner à des bains de foule est obligé aujourd’hui de monter dans son hélicoptère pour éviter les Français en colère.
Pour éviter un autre volet de la campagne de "Casserolades", le préfet de Loir-et-Cher a pris un arrêté pour créer un périmètre de protection pour la venue de Macron à Vendôme. Les "dispositifs sonores amplificateurs de sons" et manifestations étaient interdits dans cette commune française. La Ligue des droits de l’homme (LDH) a saisi le tribunal administratif d’Orléans pour contester cet arrêté.
Les quartiers bouclés par une barrière sécuritaire de policiers et de gendarmes aussi veulent protéger Macron. Le parti politique Renaissance a également prévu de coller 300 000 affiches de Macron pour célébrer sa réélection. Mais ces mesures n’ont pas sauvé ce Président tellement détesté par le peuple.
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