Le 12 mai, le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron a reçu Fabien Vanhemelryck, secrétaire général du syndicat Alliance police. Une loi anti-casseurs est soutenue par le ministre français de l’Intérieur.
Les syndicats des policiers français veulent profiter des occasions comme les JO 2024 en vue de mettre pression sur l’Elysée pour renforcer les lois protégeant les forces de l’ordre face aux tendances de radicalisation des protestations populaires commencé depuis 5 mois contre le régime français. Si les syndicats des policiers français décident d’une grève pendant les jeux olympiques qui tiendra l’été prochain, Emmanuel Macron aura un cauchemar au cours de cet évènement sportif international qui sert de la vitrine pour la sécurité interne en France.
Déjà en 2019, le régime français a imposé une loi anti-casseurs en vue de confronter le mouvement des Gilets jaunes.
Selon la nouvelle loi anti-casseur, la police peut interpeller les manifestants qualifiés de « radicaux » même avant de participer à la manifestation.
Le ministre français de la Justice a également prononcé son accord pour discuter à-propos de cette loi qui viole manifestement les droits de l’homme et le droit de manifester.
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