Hier matin, la police française a tiré sur un mineur de 17 ans à Nanterre. Ce crime a causé des manifestations dans la région parisienne où les habitants ont affronté 1 200 gendarmes et policiers déployés par le régime Macronie en vue d’étouffer les manifestants.
Mais, une autre polémique est lancée sur les réseaux sociaux et dans les médias français sur le double standard dans l’approche raciste de la police française face aux cas pareils.
Dans un autre dossier, en mai 2023, le fils aîné d’Éric Zemmour, la figure bruyante et anti-islamique des plateaux des chaînes d’infos et ancien candidat à la présidentielle 2022, a blessé, à Paris, deux personnes par sa voiture alors qu’il était en état d’ivresse, Mais la seule réaction de la police française était de le mettre en garde à vue pour quelques heures.
Le conseil des droits de l’homme des Nations Unies avait déjà condamné la France pour des actions racistes de la police de ce pays.
Dans une réunion du conseil des droits de l’homme de l’ONU, les représentants de 125 pays se sont penchés, lundi 1er mai, sur la situation des droits humains en France.
Le Conseil des droits de l’homme avait exigé que la France essaie de lutter contre les violences et les discriminations raciales.
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